Patience, je sais qu'elle viendra,
Doucement, une vague blanche,
Elle va monter lentement en moi
Pour inonder mon corps qui flanche
Qui se noie dans son écume
De tes baisers légers
Et j'aperçois la force de la nature
Qui pousse, qui gronde pour déchaîner la mer
Et épuiser les vagues folles,
Emprisonnées dans le carcan
Du corps qui s'abandonne et frôle
Le cœur puissant de l'ouragan...
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