Je ne jamais croyais en Dieu,
Mon âme n’était qu’un triste fantôme.
Je n’ai jamais trouvé ma place
Dans ce peuplé et vaste monde
Qui m’a traité souvent de connasse
À cause de mon esprit de fronde
Qui voulait pas tailler mon âme
Selon les règles établis
Et attirait souvent les blâmes
Des bonnes personnes, bien averties.
Je n’aspire plus à leurs faveurs,
Ni aux cadeaux du monde fleuri,
Je me nourris de mes douleurs -
La source unique de l’âme sans vie.
Un jour j’aurais ma belle revanche
Sur ceux qui croient en l’au-delà
Noyé dans la lumière, si blanche,
Mon âme, en bien remplie, mourra…
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