Avec
la force de mon amour,
À
la folie, sans craintes ni flemmes,
Sans
faire des pauses ni des détours…
J’aurais
voulu que tu ressentes
Ce
feu sacré qui brûle en moi
Qui
a permis me rendre compte
Que
j’ai toujours le cœur qui bat,
Que
j’ai la force et le courage
À
affronter le monde cruel
Sans
éprouver la moindre rage,
Mon
compagnon habituel.
J’aurais
voulu tellement de choses
À
partager et découvrir
À
tes cotés, comme la musique et la beauté des roses,
Les
nuits d’amour et les fous rires…
Mais…
On a des liens impérissables,
Qui
conditionnent chacun des pas,
J’aurais
tant voulu que tu m’aimes…
Mais
pour ton bien, surtout, ne m’aime pas…
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