Perdues dans l’espace infini,
Errantes sans but et sans repères,
Ni sans aucune envie
Ont vu un jour une p’tite lueur
Qui reflétait la belle lumière
Qui a jailli du fond de leurs douleurs
Pour éblouir le monde amer…
Un éclair a brûlé leur essence
Pour devenir l’incertitude
Et pour noyer dans le silence
Deux âmes, deux sœurs, deux solitudes…
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