Ton monde
est une forêt magique,
Inondée de
lumière éclatante,
Remplie de mirages féeriques
Aux sons des
paroles chantantes,
Enivrante de
beauté et de grâce
Où je perds
la notion du temps,
Déboussolée
dans ce bel espace
Aux doux
parfums du printemps.
Je n’ai plus
envie de sortir
Et retrouver
mon monde réel,
Je me laisse
charmer, m’éblouir
Pour apaiser
mon âme frêle
Qui n’a vu
que le froid et la brume,
En errant à
la recherche de lumière,
Armée d’une épée
d’amertume,
En oubliant
toutes les prières.
Tu m’as
montré les merveilles de ton monde
Aux couleurs
de mille et une nuits
Avant de
refermer la porte
De ton
magnifique Paradis…
Je reste
devant cette porte,
En regardant
les autres la passer,
J’aurais préféré
d’être morte
Que d’être
encore rejetée…
J’aurais
voulu créer un monde
Aux charmes éternels,
Mais je n’ai
que la brume immonde
Et le froid
du monde mortel…
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