Tomber
dans les bras forts et chauds de l’oubli,
Comme
ceux connus autrefois,
Pour
bercer mon corps et vider mon esprit
De
toutes les blessures, laissées par ma croix...
Les
bras, comme deux ailes de la nuit,
Qui
voilent la beauté vulgaire du monde,
Sa
laideur, sa traîtrise, son ennui,
Bref,
toute sa nature immonde...
Oubli,
prends moi dans tes bras,
Offre-moi
un peu de répit,
Emmène-moi
loin au-delà,
Aie
pitié de moi, je t’en supplie…
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