J’ai
libéré mon âme du monde obscur,
Un
œuvre terrifiant d’esprit cruel,
Rempli
de préjugés, de conventions, de murs,
Plongé
au fond d’un long sommeil.
Le
monde – fantôme, l’abri des peurs,
Des
ombres, des horribles voix –
De
vrais bourreaux de l’âme qui meurt,
Prise
dans les bras de sa terrible croix.
J’ai
libéré mon âme de long sommeil meurtri,
De
ses démons et de ses chaînes -
Les
pitoyables assassins de mon esprit
Et
de mon âme à bout des peines.
J’ai
mis la fin à tous les liens -
Des
garde-fous d’une vie sans failles,
Pour
retrouver le bon chemin, le mien,
Crochu,
tordu, en plein pagaille.
Il
est à mon image, fragile et fou,
Plein
d’enchantements et des erreurs,
Et
ce que pensent les autres – je m’en fous,
Ils
sont les prisonniers de leurs malheurs.
Leurs
âmes – les proies de leurs passions
Et
leurs esprits – plongés dans le brouillard
Du
monde obscur qui donne une impression
De
tout connaitre sans le savoir.
Mon
âme perdue a retrouvé sa voie
À
l’aide de mon esprit, qui a rompu ses chaînes,
Ils
ne seront jamais les proies
Du
monde obscur, meurtri et blême…
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