Un jour elle a vu une âme perdue
Dont chaque mot respirait la douleur,
Familière et tellement connue
Qui hantait son propre cœur.
Elle a vu les peurs et les dilemmes,
Les doutes et le vide de solitude
D'une existence fragile et blême
À la démarche pénible et si rude...
Elle s'est jetée la tête dans l'eau
Pour la sauver de la noyade,
N'ayant que la faiblesse des mots,
Souffrants d’indifférence froide,
Mais nourris avec le feu du vrai Amour
Qu'ignore les peurs et les refus
Et qui ont réussi à détruire l'armure
Et le froid de l'âme perdue...
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