Ils arrachent le voile de l’inconscience,
Bercée par les rêves magiques,
Et percent le monde de l’insouciance
Où il n’existe que la musique
Et le silence du monde d’ailleurs,
Rempli de songes aux airs des danses,
Les mots sont leurs habits meilleurs,
Mais restent seulement une apparence…
Ils ne sont pas assez habiles
Pour expliquer inexplicable,
Leur pouvoir ne tient qu’à un fil
Qui tisse l’étoffe d’une belle fable…
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